Tous les jours de 11h30 à 20h
Vernissage le mercredi 15 mai de 18h30 à 21h30
Nocturnes jeudi, vendredi, et samedi jusqu'à 21h
Brunch le dimanche 19 mai de 12h à 18h
Tous les jours de 11h30 à 20h
Vernissage le mercredi 15 mai de 18h30 à 21h30
Nocturnes jeudi, vendredi, et samedi jusqu'à 21h
Brunch le dimanche 19 mai de 12h à 18h
Quelques tableaux de l'exposition
Lorsqu’elle rejoint les Beaux-Arts à Beauvais en 1977, Annick Zimmermann marque le tournant d’une orientation scientifique initiale et suit son penchant naturel vers l’Art. Sa première exposition deux ans plus tard en Alsace lance un parcours émaillé de défis qui l’entraînent vers l’huile, l’acrylique, la sculpture… Parallèlement, Annick se plonge dans l’Histoire de l’Art, au Louvre et à Orsay. Dès 1982, les expositions s’enchaînent et l’artiste rejoint le groupe ZOO au Pré St-Gervais entre 1991 et 2001.
Annick nourrit son affectif du quotidien mêlé à l’imaginaire, puis très vite, les voyages subliment son champ créatif. Du Tonkin à l’Afrique, en passant par l’Amérique, l’artiste absorbe les sensations qu’elle projette dans ses œuvres. Le ton est donné: ressentir plus que montrer. Lissages et ponçages successifs traduisent le temps qui passe, les empreintes de la vie. L’émergence indicible…
Dès 1999, Annick explore tous les axes d’expression. Cette même année, elle investit le milieu cinéma; ses toiles apparaissent dans le décor du film « Le derrière », de Valérie Lemercier, avec Claude Rich. Puis participation au décor de « Epouse-moi » avec Vincent Perez et Michèle Laroque. Suit en 2001 « La vérité si je mens » de Thomas Gilon. Son goût pour la décoration la pousse à travailler pour les monuments historiques, dont le Château de Blois, où elle restaure les peintures murales de Violet Le Duc. La réputation grandissante d’Annick dans ce domaine lui fournit de nombreux chantiers prestigieux de décoration avec des patines allant du faux bois au faux marbre; on lui confie la restauration d’hôtels particuliers.
Passage par Lyon de 2003 à 2006, entre décos, peinture et sculptures, créer toujours, étoffer sa relation à l’éphémère dans la pérennité. Dans le même temps, de 2002 à 2010, le tourbillon des salons diffuse l’art d’Annick dans le monde entier.
Entre 2007 et 2011, les méandres de la vie la conduisent à Bruxelles où elle ouvre une remarquable Maison d’hôtes- galerie. Les clients du monde entier viennent séjourner dans cet hôtel de luxe raffiné empreint de culture artistique.
Retour à Paris en 2011, une nouvelle page s’inscrit. Annick accroche ses toiles dans tout ce que la capitale compte d’expositions à succès: le Salon d’automne, Comparaisons, et tant d’autres…
Mais elle répond à l’appel du large et reprend son envol vers le Japon, la Chine, l’Inde…ainsi qu’aux États-Unis à Houston où elle expose de manière permanente.
Aujourd’hui encore, Annick Zimmermann sillonne toutes les terres de l’Art.